C'est étrange n'est pas ? De se sentir libre même dans un monde ou les morts marchent. À vrai dire, ce fut le premier sentiment qui m'avait envahis quand ils ont été tués. Eux, mes bourreaux ! Je suis libre maintenant, c'est réel et c'est agréable de se sentir ainsi. Bien que j'aie fini par comprendre que ces monstres n'étaient pas vraiment des sauveurs ! Ils étaient uniquement là parce qu'ils n'avaient qu'une chose en tête (ou du moins j'aime a pensée que ce soit ça). Dévorés les gens, les mangers ! Beurkkk !
Mais ce jour-là, je ne le savais pas encore et j'en ais pris pleins le visage !
Cela me fessait à peine quelques heures que je marchais sur la route, admirant le paysage et laissant cours à toute ma rage que j'avais maintenue depuis si longtemps. J'aurais dû me taire parce que mon cri avait attiré quelques une de ses créatures et elles ne voulaient qu'une chose, manger ma chair.
Je venais tout juste de me taire qu'ils étaient déjà plus qu'à quelques mettre de moi. Ces saloperies, je vous jure qu'est ce que cela court vite. Je n'ai pas eu besoin de me posé de question que mon système de survie, c'est mis à l'œuvre et sans rien comprendre, je me suis mise à courir là où mes pieds voulaient bien m'emmener. J'ai fini par me retrouver dans une petite cabane ! Mais eux n'étaient pas loin. J'entendais leur grognement et les mains grattés les planche qui constituaient mon refuge. Au rythme où ils allaient, il ne resterait presque rien de mon abri. Je devais donc faire quelque chose ? Cependant, quoi ? Parce que vu la situation, il n'y avait pas beaucoup de scénario à envisager ! En quelque seconde, je me mis à observer l'endroit où je me trouvais afin de trouver quelques chose qui pourrait servir d'arme. Je pouvais utiliser ce que j'avais dans mon sac ? Seulement dans la panique, je l'avais complément oublié ! Ce sont des choses qui arrivent (et ensuite plus jamais je n'ai commis cette erreur !). Quelque seconde plus tard, j'avais un morceau de pied de table dans la main et je sortis de ma cachette par l'ouverture qui n'était pas envahie de ces mangeurs de chair. Essayant de faire le moins de bruit, je me dirigeai vers eux et abatis mon arme de fortune sur leurs crânes. Je réussis avec quelques difficultés néanmoins à en tué quelques-uns et à réussir à m'enfuir à nouveau.
Je compris donc que dans ce monde, prendre la fuite était souvent une des solutions à prévoir. Encore une fois, je courais comme si rien d'autre n'avait d'importance et c'est quand je me retrouvai à bout de souffle que je m'arrêtai enfin. Dans tout ça, je n'avais pas fait attention que mon corps avaient utilisé toutes ses réserves d'énergie (ajouté à cela, le merveilleux régime alimentaire de ma mère. Pain et eau cela ne convient pas à une demoiselle comme moi.))
C'est ainsi que je finis par m'écrouler de tout mon long. En prime, il c'était mit à pleuvoir et je me retrouvais dans les vapes, coucher sur le sol sans défense face au mort-vivant. Du moins, c'est ce que j'ai cru. J'ai senti quelque chose de chaud se déposé sur une de mes mains, puis me tirer pour me trainer, je ne sais où ! Je n'avais pas assez de force pour réagir, je me laissai donc faire tout en priant intérieurement que ce n'était pas un autre danger sur lequel j'allais tomber.
Puis cette personne me relâcha. J'entendis tout d'abords comme des murmures et doucement ces petits sons pris forment et se transformées en discutions entre deux personnes. Je compris que quelques brides et l'un n'avait pas l'air d'être content. Je dois dire que j'étais d'accord avec lui ! On ne peut pas toujours faire confiance aux gens. Je suis bien placé pour le savoir, vue la belle vie que j'ai eue avant que ce monde devienne chaotique.
Lentement ; je repris un peu de force, juste assez pour me permettre d'ouvrir les yeux et d'apercevoir que je me retrouvais face à un adolescent qui devait avoir 13-14 ans un peu près. Il était au-dessus de moi avec son arc pointer sur moi, près a tiré au moindre danger et je pense que c'était moi, le danger actuellement. Comme je pouvais le comprendre en sommes, il ne fessait que se protéger et protéger celle qu'il aimait. Ça ; il n'y avait aucun doute, ils étaient bel et bien amoureux. C'est magnifique de voir des amoureux, même dans ce monde. Je leur tire mon chapeau en sommes d'avoir le courage de s'aimer.
Au bout du conte, la demoiselle qui m'avait sauvé la vie se dirigea vers moi tout en me demandant gentiment si j'allais bien. Le jeune homme toujours méfiant, toujours son arc pointer sur moi, me cria sèchement d'une voix autoritaire et froide sans me laisser le temps de pouvoir répondre à la jeune fille. Avec le peu de force qu'il me restait, j'essaie de m'assoir afin de pouvoir répondre sa demande.
- Je m'appelle Z, Z Alestra et je serais morte si ta copine ne m'avait pas emmené ici...
Répondis-je tout en levant les mains, je voulais montrer que je n'avais rien. Puis je repris la parole, juste pour leur dire que je n'avais pas l'intention de leur faire du mal et puis de toute façon, je n'avais pas la force pour tenter quoique ce soit.
- Je n'ai pas l'intention de vous faire du mal et pour être honnête, je n'ai même plus assez de force pour tenter quoique ce soit.
Autant joué la carte de l'honnêté. J'espérais ne pas mourir ce jour-là ! Premier jour de liberté et peut-être le seul.