Aimer un être, c’est accepter de vieillir avec lui
Je la regarde en lui disant la vérité sur cette nuit, je n’étais pas bien, et cela date depuis cette histoire de zombie, de mariage, sans Joyce je ne sais pas ce que je serais devenus.
Oui je l’espère.
Je désire partager, je sais qu’elle ne a aussi besoin, autant que moi, surtout qu’une pomme était rare, enfin je crois, je sors que très peu, j’ai tellement peut, pourtant je devrais faire face à la réalité un jour.
Oui j’y tiens Joyce, tu as en as besoin aussi, peut être bien plus que moi.
Dis je en passant ma main sur la sienne, ça sentait bon le café, même si ce n’était pas le meilleur du monde, mais il était fait avec gentillesse et amour. Je plonge ma cuillère, prenant une tartine, j’aimais les matins comme ça.
Non cela ne me dérange pas, je rêve de ma famille, de ce mariage, et cela tourne en boucle, et je me fais poursuivre puis mordre, je me sens mourir, partir, je ne sais comment dire cela, puis toi, toi qui essaye de me sauver, mais tu n’y arrives pas.
J’ai une larme qui coule, car j’apprécie vraiment Joyce, je crois que je l’aime, mais je ne suis sur de rien, pour le moment du moins. Je ressens sa chaleur dans ses mains, je les serres comme pour ne plus les quitter.
D’accord, je te promets qu’il n’y aura pas de secrets entre nous.
Dis je en retrouvant le sourire, j’aimais bien Barbie, bien que je restais méfiante, j’appréciais cette hyène.