John Pasadena - ROCK

Lun 10 Avr - 22:55

The Hermit

John Pasadena - Hermits

Caractère

John ? C'est une vraie tête de mule, un vrai dur comme on n'en fait plus, le genre de mec qui se laisse pas marcher sur les pieds et qui se plaint. C'est un pur gamin des rues à l'ascendance irlandaise avec tout ce que cela implique, il a fait ses gammes à Boston comme toutes les autres têtes brûlées de son âge. On imagine facilement le tableau dans un cadre comme ça, non ? On respecte que celui qui a la plus grosse et celui qui sait se remplir les poches, donc il a grandi comme ça le petit Johnny, avec les dents longues et des journées qui oscillent entre bagarres et bêtises.

"ROCK" s'ouvre difficilement à ses semblables, il est du genre solitaire et son aspect truculent donne pas envie de le fréquenter. Pour autant, c'est un bonhomme dynamique, un pur obstiné/débrouillard qui arbore très souvent un sourire de challenger. Ne comptez surtout pas sur lui pour remonter le niveau de ce monde ravagé par les zombies, c'est un opportuniste assumé qui ne craint pas de traîner des casseroles ou d'être détesté.

Après tout, dans le monde d'avant... C'était un hors la loi, un criminel, un vrai made-guy, mais c'est pas un monstre, loin de là... Au départ, c'est un gars qui tente de bien faire les choses sans trop nuire à son entourage, mais on peut pas dire que ce monde l'a fait évoluer de la meilleure des manières. Résultat, c'est un gars qui profite de l'état de la société en mettant à profit ses qualités de rapace.

Surnom: ROCK

AGE: 30

GROUPE: Hermits

RANG: /

MÉTIER: Propriétaire d'un pub Irlandais

SEXE: Masculin

ORIENTATION: Hétéro

ÉTAT CIVIL: Célibataire

ACTEUR: Matthew Mcconaughey

Mes Ressources !

Une machette de survie, un 357 Magnum
Lunette de soleil Rayban Aviator

Derrière l'écran

Bonjour, allons-y pour les présentations. Je me nomme Pseudo et j'ai XX belles années dernières mois. Actuellement, je suis (études ou métier). Je suis disponible (disponibilités)...

Lun 10 Avr - 22:57

The Hermit

L'histoire

Dans sa jeunesse, il était sous la coupe de Pete Callaghan, un grand ponte de la pègre Irlandaise et le père qu'il n'a jamais eu, il demandait des choses au petit John et il s’exécutait, rien de plus simple. On assistait à la naissance d’une vraie équipe de petits irish qui manquaient de sous et qui buvaient du whisky. C’était un fiston souriant et candide, il avait le cœur à l'ouvrage lorsqu'il se remplissait les poches ou qu'il rendait service aux gens de son quartier. Sa mère aimante était incapable de canaliser ce petit diablotin, ce dernier se contentait de rentrer dormir à la maison familiale pour apaiser les inquiétudes de sa maternelle.

Âgé d'une vingtaine d'années, il entre en prison pour des affaires d'extorsion et de racket à Boston. Il va s’endurcir et goûter aux événements indicibles d'une vie cruelle en détention. C'est là que "ROCK" va se confronter aux instincts humains les plus primitifs, ceux qui déshumanisent et qui provoquent l’inquiétude. Ses acolytes et son mentor vont lui tourner le dos et le laisser seul dans ce dessein de taulard alors que sa mère va décéder lors de sa détention. Ne pas pouvoir assister à l’enterrement de sa pauvre maternelle va le brûler de l’intérieur, le consumer. Cette période obscure de son existence va fortement l'affecter, au point de façonner radicalement ce qu'il est aujourd'hui. John n'était plus disposé à accorder sa confiance, le chemin devait se faire seul sans l'aval de qui que ce soit pour celui qui était devenu quelqu’un d’autre.

Il n’a pas perdu de temps à son retour ; malgré les stigmates laissés par les rixes entre détenus, les confrontations avec les gardien, la cellule qui sied à la solitude envahissante, il s’est lancé à plein temps dans les affaires en guise de traitement thérapeutique. Il était fait pour ça, il n’a jamais pensé à une autre manière d’exister, c’était cette vie ou rien. Il a embrassé ce destin de voyou en laissant de coté le bon gamin qu'il était.

Alors quand l'épidémie a commencé, Johnny avait les chocottes comme pas deux, il n'y croyait pas ses yeux. Les images télévisées, ce qu'on voyait sur internet, il y avait de quoi délirer pour celui qui est fortement porté sur le whisky. Puis avec les mois qui passent et les années, il s'est fait à ce monde de merde qui lui à longtemps foutu les jetons. Il a réglé ses comptes avec ses anciens camarades dans un monde sans foi ni loi, sans principes moraux, sur fond de vociférations frémissantes de zombies. Lorsqu'il a terminé ce qu'il avait à faire, il a pris ce qui lui restait et il a pris le large direction Fallen.

Rechercher

Résultats par : Messages Sujets
Recherche avancée

John Pasadena - ROCK

Kimbell et Rocket